Éthique et médecine fœtale - 02/02/23
Résumé |
Sur 10 000 dossiers soumis aux centres pluridisciplinaires de diagnostic prénatal (CPDPN) de France chaque année, 7000 débouchent sur une interruption médicalisée de grossesse (IMG), et l'analyse rétrospective de cette activité montre une réelle homogénéité dans les décisions : pas ou peu d'IMG pour des malformations peu graves ou curables. Bien qu'il n'y ait pas de liste des malformations éligibles pour une IMG, heureusement, la règle légale « malformation d'une particulière gravité, jugée incurable au moment du diagnostic » n'a pas produit d'ambiguïté. Cette règle a cependant laissé à l'appréciation des CPDPN un certain degré de liberté pour tenir compte de la complexité et de la diversité des cas particuliers.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Mots-clés : Interruption volontaire de grossesse, Éthique et interruption volontaire de grossesse, Législation de l'interruption volontaire de grossesse, Médicolégal, Psychopathologie, Détresse
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